Le rapport des comptes semble décrire une situation où un affrontement se profile entre les partis APR et Pastef. Chacun enverra son expert à la télévision ou à la radio pour défendre son point de vue, accusant l'autre de mentir. Le gouvernement affirme que les finances publiques sont dans une mauvaise situation, mais personne n'est prêt à réduire ses privilèges.
Il est suggéré que chacun fasse des sacrifices : réduire leur salaire de moitié, supprimer les dotations de carburant et les primes. Les fonds communs, les caisses noires devraient être éliminés, tout comme les salaires exorbitants des directeurs généraux et les primes de 60 000 pour les hauts fonctionnaires. Cependant, aucun politicien ne semble prêt à serrer la ceinture. Ce sont toujours les citoyens ordinaires qui continuent de souffrir, tandis que les privilèges des élites restent intacts.
La France, confrontée à un endettement exponentiel, fait face à des enquêtes et auditions pour comprendre la situation. Pourtant, au Sénégal, nous restons dans l’émotion et les débats politiques, chacun se disant que son leader détient la vérité. Les problèmes sont réels, mais l'action semble inexistante.
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Il est suggéré que chacun fasse des sacrifices : réduire leur salaire de moitié, supprimer les dotations de carburant et les primes. Les fonds communs, les caisses noires devraient être éliminés, tout comme les salaires exorbitants des directeurs généraux et les primes de 60 000 pour les hauts fonctionnaires. Cependant, aucun politicien ne semble prêt à serrer la ceinture. Ce sont toujours les citoyens ordinaires qui continuent de souffrir, tandis que les privilèges des élites restent intacts.
La France, confrontée à un endettement exponentiel, fait face à des enquêtes et auditions pour comprendre la situation. Pourtant, au Sénégal, nous restons dans l’émotion et les débats politiques, chacun se disant que son leader détient la vérité. Les problèmes sont réels, mais l'action semble inexistante.
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